La justification est tragiquement banale est assez peu argumentée. « Je ne suis pas raciste, mais je le referai ». Un homme revendiquant la responsabilité de la fameuse banderole de Manchester City-Burnley s’est expliqué dans le Daily Mail. « je ne m’excuserai auprès de personne. » « Mon employeur, le club, et bien d’autres ont complètement surréagi », assure-t-il alors qu’il pourrait être licencié dans les prochains.
Lundi soir, un avion avec une banderole « White lives matter Burnley » (Les vies des Blancs comptent) a survolé l’Etihad Stadium. Les joueurs de City et Burnley venaient de s’agenouiller en soutien au mouvement Black Lives matter. La banderole avait été fortement critiquée autant par Burnley que par le capitaine de l’équipe.
Pour l’auteur du forfait, qui précise bien sûr qu’il a des amis noirs et asiatiques, pas de racisme la dedans. « On voulait juste expliquer que les vies de Blancs comptent aussi », a-t-il expliqué, révélant que 60 personnes étaient derrière cette banderole, un groupe de supporters d’extrême-droite de Burnley croit savoir le Daily Mail.
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