Le Paris Saint-Germain échappe au huis clos partiel immédiat. Le club de la capitale a écopé d’un match avec sursis pour la partie basse de la tribune Auteuil du Parc des Princes, ce mercredi à l’occasion de la réunion hebdomadaire de la Commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP).
Le PSG a été sanctionné pour « usage d’engins pyrotechniques et banderoles » lors de la victoire 4-0 face à l’Olympique de Marseille, le 27 octobre dernier en clôture de la 11e journée de Ligue 1. Lors de cette rencontre, les supporters présents dans cette partie du stade avaient notamment déployé, en seconde période, des banderoles contre leurs homologues marseillais.
Pas d’amende pour Nice-PSG
Les messages des Parisiens avaient été condamnés par Roxana Maracineanu, ministre des Sports, après la rencontre: « Il y avait quand même des manifestations inutiles de mépris et d’humiliation, par rapport à l’équipe adverse. (…) Il faut qu’on veille à ce que certaines personnes, les joueurs sur le terrain, l’équipe adverse, ne soient pas humiliés, blessés et diminués par les manifestations. »
Le Paris Saint-Germain aurait également pu être sanctionné pour des usages d’engins pyrotechniques lors du match Nice-PSG (1-4), le 18 octobre. Aucune sanction n’a toutefois été prononcée, « compte tenu des mesures tangibles prises par le club ». Toutefois, l’Olympique de Marseille, l’Olympique Lyonnais, les Girondins de Bordeaux et le FC Nantes n’ont pas évité l’amende allant de 3.000 à 45.000 euros.
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