La quête du « grand attaquant » est devenue le fil rouge du mercato olympien depuis la saison dernière. Il y a un an, elle s’était conclue par l’arrivée de Kostas Mitroglou en provenance de Benfica. Cet été, c’est le nom de Mario Balotelli qui est le plus souvent associé à la Canebière. Une situation pas forcément évidente à vivre pour les attaquants actuellement présents dans l’effectif de l’OM, mais que Valère Germain s’attendait à affronter. « Ça ne me perturbe pas trop », a-t-il assuré ce vendredi en conférence de presse, à deux jours d’affronter Nîmes en clôture de la deuxième journée de Ligue 1.
« C’est le jeu des grands clubs »
« L’année passée, j’avais plutôt fait un bon mois d’août. J’avais été décisif. Là j’ai également été décisif sur le premier match. Je montre que ça ne me perturbe pas. Après, c’est le mercato. Ça se passe comme ça. C’est dans tous les clubs comme ça, et encore plus dans un club comme l’OM », a poursuivi l’ancien Monégasque, buteur il y a une semaine contre Toulouse (4-0). « On parle d’un attaquant, mais aussi d’un milieu de terrain, d’un défenseur… C’est le jeu des grands clubs », a ajouté Germain, auteur de 9 buts la saison dernière en championnat.
Pour lui, il n’existe qu’un seul moyen pour ne pas être confronté à toutes les rumeurs propres au marché des transferts: « Si on veut être un peu plus tranquille en tant que joueur pendant le mercato, il faut aller dans un plus petit club. »
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