Les raisons du succès
« Le stade en fusion explique pas mal de choses. Personne n’est sorti fatigué alors qu’on avait couru des kilomètres. Ça se joue dans les têtes. On a tout donné pour nous qualifier. Avec Max (Lopez), on a montré qu’on pouvait être solides au milieu de terrain, qu’on formait une bonne paire. Le travail de toute l’équipe a été extraordinaire. Tout le monde a fait les efforts pour défendre. On va mettre la même intensité dans les prochains matchs. »
L’état d’esprit avant le coup d’envoi
« Après le match aller, on savait qu’on avait des atouts offensifs pour marquer. On est sorti du premier match avec des regrets. Mais on savait qu’on aurait des occasions dans notre stade, face à notre public. »
Un moment important, un déclic avant le match ?
« Peut-être le fait qu’on soit arrivé en retard au stade. On s‘est dit qu’il fallait qu’on soit à l’heure sur le terrain. »
Un moment de doute pendant le match ?
« On affichait une grosse confiance. Même après le 2e but (de Leipzig), je n’ai pas vu un joueur paniquer ou prendre sa tête dans ses bras. Cela montre que l’on a beaucoup de caractère, comme on le démontre depuis plusieurs matchs. »
Les demi-finales contre Salzbourg
« On les a joués dans un tout autre contexte avec une équipe différente (en phase de poules ndlr). Le petit regret est de ne pas pouvoir jouer le match retour à domicile (le 3 mai) mais on va faire le maximum à l’aller pour se faciliter la tâche au retour. »
Priorité à la Ligue Europa ou à la L1 ?
« Il ne faut pas calculer et tout jouer à fond. Même si on est proche de la finale, on peut rater la qualification. Il ne faut rien lâcher. On est donc tous concentrés pour aller gagner à Troyes dimanche. »
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