L’OM a écopé d’un point de retrait avec sursis après les incidents à Angers. Les supporters phocéens ne pourront également pas se déplacer en Ligue 1 jusqu’au 31 décembre. Jacques Cardoze, directeur de la communication de Marseille, dénonce ces décisions.
Si Lens n’a pas masqué son soulagement après les sanctions reçues pour les incidents lors du derby du Nord face à Lille, l’OM est plus agacé par les décisions de la commission de discipline de la Ligue à son encontre. Des sanctions qui font suite aux incidents lors d’Angers-OM (0-0), rencontre au terme de laquelle des supporters phocéens avaient pénétré sur la pelouse. Des altercations avec des supporters du Sco avaient eu lieu.
Un point de retrait avec sursis
Ce mercredi, l’instance disciplinaire a infligé un point de retrait avec sursis à l’OM. Un sursis qui court pendant un an. L’espace visiteurs sera aussi fermé lors des déplacements de Marseille en Ligue 1 jusqu’au 31 décembre. Pour que le point soit retiré, il faudra que « des faits sensiblement équivalent viennent à se reproduire ». Le Sco écope lui de la fermeture de la tribune Coubertin pour deux matchs, dont un avec sursis, et d’une amende ferme de 20 000 euros.
Des sanctions qui ont du mal à passer côté olympien. « Cela me paraît très sévère, tant le retrait de point avec sursis que l’interdiction de déplacement pour nos supporters, surtout pour un match qui est allé à son terme et lors duquel auquel blessé n’a été enregistré », a déclaré à l’AFP Jacques Cardoze, directeur de la communication de l’OM. Première à l’extérieur sans ses supporters le 31 octobre pour Marseille à Clermont, lors de la 12e journée de Ligue 1.
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