Les Gunners roulent sur la Ligue Europa depuis deux mois et demi. Qu’il pleuve ou fasse un soleil radieux. Une date qui symbolise la montée en puissance d’Arsenal sur la scène continentale? Le 14 mars dernier. Emirates Stadium.
Un jeudi soir encore frisquet d’hiver à Londres. Battu 3-1 lors du huitième de finale aller à Rennes, Arsenal doit renverser les Bretons pour continuer sa route. Sous l’impulsion de Pierre-Emerick Aubameyang, auteur d’un doublé, les Anglais s’imposent 3-0 et filent en quarts de finale. Ils ne s’arrêteront plus. Vainqueurs à domicile contre Naples (2-0) et vainqueurs, encore, dans l’enfer du San Paolo (0-1). En demi-finale, ils ne laissent aucune chance à Valence (succès 3-1 à domicile, succès 4-2 à l’extérieur). Route royale vers la finale de ce mercredi contre Chelsea (21h sur RMC Sport et RMC Story).
Une seule défaite et deux buts encaissés dans leur groupe
Auparavant, les partenaires du capitaine Laurent Koscielny, qui a longtemps été blessé, ont géré tranquillement leur phase de groupes. Hormis un petit accroc à domicile face au Sporting Portugal (0-0), les Gunners se sont imposés à cinq reprises sur six rencontres. Pour 12 buts inscrits et seulement deux encaissés (les deux lors du premier match face au Vorskla Poltava, 4-2).
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Légère frayeur en Biélorussie
La seule fois où les joueurs d’Arsenal ont eu peur, c’est probablement lors du 16e de finale aller sur la pelouse du Bate Borisov. Un revers 1-0 en Biélorussie, qui aurait pu compliquer la tâche des joueurs de l’entraîneur espagnol Unai Emery. Mais au retour, les Gunners ont bien réagi (3-0). Lançant leur route jusqu’à la finale de ce mercredi soir face à Chelsea…
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