Le VAR a été, en quelque sorte, la star de cette seconde soirée de Ligue des champions de la semaine. Au Parc des Princes, en provoquant le penalty de la qualification de Manchester United pour une main de Kimpembe. Mais pas seulement. Plus tard dans la soirée, au Portugal, alors que le FC Porto et l’AS Rome disputaient une prolongation, l’arbitrage vidéo a de nouveau décidé du sort du match, en faveur des premiers (3-1, a.p.).
Deux décisions litigieuses
A la 115e minute, l’arbitre de la rencontre Cüneyt Çakir accorde un penalty à Porto pour un tirage de maillot de Florenzi pour Maxi Pereira, après visionnage de la vidéo. Cinq minutes plus tard, c’est au tour de Schick de s’effondrer dans la surface, après un contact avec Marega. Mais cette fois-ci, l’arbitre turc ne consulte pas le VAR et ne désigne pas le point de penalty, au grand dam des Romains.
« Ils nous volent encore »
Deux décisions qui ont ulcéré le président de la Roma, Jim Pallotta, après la rencontre: « L’an passé, on avait demandé le VAR en C1 car on avait été volés en demi-finales (face à Liverpool). Ils ont le VAR et nous volent encore. Le VAR a montré la faute (sur Schick) mais rien n’est sifflé. Je suis fatigué de cette merde. » Il ne pouvait pas être plus clair.
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