Unai Emery aurait-il sous-estimé le sens du détail de son compatriote Pep Guardiola? Pour ses débuts sur le banc d’Arsenal, le technicien basque affrontait le champion d’Angleterre en titre Manchester City (défaite 2-0) et se rendait bien compte de l’ampleur de la tâche. A tel point que la moindre astuce était bienvenue.
Le jardinier des Cityzens raconte ce lundi, dans le Daily Mirror, avoir été surpris de l’état de la pelouse de l’Emirates avant la rencontre. « Après 20 ans sous les ordres du même manager, ils (Arsenal) n’avaient pas arrosé la pelouse avant le match, ni même à la mi-temps, ce qui était très inhabituel, explique Lee Jackson. Ils n’en ont heureusement pas tiré avantage. » Et pour cause, l’homme ayant pu prévenir Pep Guardiola, qui affiche « une attention phénoménale au moindre détail ».
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Pulis, habitué des mauvais coups de pelouse!
Une astuce comme une autre, chaque coach tentant de maîtriser le moindre détail pouvant mettre ses adversaires en difficulté. « Quand Tony Pulis était à Stoke, quand vous fouliez la pelouse, vous ne pouviez pas voir vos pieds tellement l’herbe était haute !, poursuit le jardinier mancunien. Mais la plupart des managers veulent une pelouse humide et rase, pour que le ballon circule plus vite. » Bien tenté, monsieur Emery.
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