Lionel Messi avait plusieurs raisons de fulminer contre l’arbitrage du match entre l’Argentine et le Paraguay (1-1), jeudi lors des qualifications pour la Coupe du monde 2022. La rencontre a été marquée par plusieurs décisions litigieuses dont celle d’annuler un but à la star argentine pour une faute 30 secondes plus tôt. Avant cela, l’arbitre de la rencontre s’est distingué pour son incroyable clémence envers l’ailier paraguayen, Angel Romero.
Ce dernier a commis une violente faute sur le milieu de terrain adverse, Exequiel Palacios à la 30e minute de jeu. Alors que l’Argentin venait de dévier le ballon de la tête, le joueur de San Lorenzo est intervenu à retardement en lui assénant un violent coup de genou dans le bas du dos, tout en lui heurtant le visage avec ses deux bras, qu’il n’a pas du tout retenus.
Palacios immédiatement hospitalisé
Pour cette véritable agression, il n’a reçu qu’un carton jaune malgré l’utilisation du VAR, dont les images sont pourtant parlantes. L’état de Palacios aurait aussi pu guider l’arbitre dans sa décision d’infliger un carton rouge au joueur paraguayen.
Le joueur du Bayer Leverkusen, remplacé par Giovani Lo Celso, a été immédiatement transféré à l’hôpital et souffre d’une fracture d’une vertèbre qui pourrait l’éloigner des terrains pendant plusieurs mois. Il pourrait être éloigné des terrains pendant plusieurs mois. L’action sur laquelle il s’est blessé a rappelé celle de Neymar, victime d’une agression similaire de la part du COlombien Camilo Zuniga lors du Mondial 2014.
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