« Tu ne sors pas d’une finale, gagnée ou perdue, sans avoir appris quelque chose »: tel est le crédo d’Eric Di Meco. L’ancien défenseur en sait quelque chose, lui qui a perdu une finale de Ligue des champions avec l’OM contre l’Étoile rouge de Belgrade en 1991 avant de triompher en 1993 face à l’AC Milan. Avant de se lancer dans cette édition 2020-2021 face à Manchester United dans le groupe H à 21h (sur RMC Sport 1), le PSG pourrait s’inspirer de cet exemple ou de celui de Liverpool, battu en finale en 2018 et vainqueur un an plus tard.
Florenzi, symbole d’une équipe renforcée
« Je reste persuadé que lorsque tu disputes une finale, tu en ressors du positif. Il y a de la déception d’avoir perdu. Mais c’est ce qu’on appelle l’expérience », a argumenté Eric Di Meco dans le Super Moscato Show sur RMC, quasiment deux mois après la défaite des Parisiens face au Bayern Munich.
Toutes les équipes battues ne brillent pas nécessairement juste derrière, mais les champions de France ont quelques atouts à faire valoir, selon le membre de la Dream Team RMC Sport. « Il n’y a pas beaucoup d’équipes en Europe qui se soient bonifiées » ces derniers mois, remarque Eric Di Meco.
Le PSG lui semble mieux équipé aujourd’hui, même avec les départs de Thiago Silva et d’Edinson Cavani. En effet, le recrutement opéré lui apparaît prometteur. En particulier avec l’arrivée d’Alessandro Florenzi en prêt. « Ils ont pris un latéral droit qui s’est intégré rapidement et qui est très fort offensivement. C’était un manque », apprécie le consultant.
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