Kevin Malcuit est arrivé l’été dernier à Naples, après une carrière en France passée par Niort, Saint-Etienne puis Lille. Le latéral de 27 ans a raconté à France Football son adaptation d’abord difficile au football italien. « Dès mon arrivée, j’ai ressenti une énorme différence avec la Ligue 1 au niveau tactique, explique Malcuit. Les premiers jours, j’étais souvent en décalage par rapport à mes coéquipiers. Il a fallu assimiler le logiciel de jeu et progresser dans mon positionnement. »
Une intégration progressive
Un important travail tactique pour être « beaucoup plus attentif sur 90 minutes » dans un championnat où « tout relâchement peut être rapidement sanctionné ». « Ici, le sens du détail est très aiguisé », souligne-t-il. Malcuit a dû attendre la 6e journée de Serie A pour débuter avec Naples, et n’a disputé aucune des rencontres de la phase de poules de Ligue des champions. Mais son adaptation s’est faite progressivement, avec 16 rencontres disputées, dont 14 en tant que titulaire.
Les Bleus dans un coin de la tête
De quoi penser, déjà, à l’équipe de France? « Les Bleus, c’est un rêve et un objectif, explique Malcuit à France Football. Je suis au Napoli car je sais pertinemment que pour espérer accrocher le wagon des Bleus, cela passe par un grand club et des grands matches. »
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